Commission Sociale Plénière
FSU-FSDIE
Le 13 avril dernier a eu lieu la commission sociale plénière FSU-FSDIE. Késako ?
Le CROUS dispose d’un Fond Social d’Urgence (FSU) qui permet d’aider ponctuellement des étudiants en situation difficile (liée par exemple à des frais complémentaires pour cause de stage, à une maladie, une moment difficile de la vie, etc.). Tous les étudiants de l’académie de Poitiers (universités, Ecoles, BTS, etc.) sont éligibles à ce fond.
Le Fond de solidarité et de développement des initiatives étudiantes (FSDIE) est un fond propre à l’université de Poitiers) et est divisé en deux parties : la part initiative étudiante (subventions aux associations, etc.) et la part sociale. Seuls les étudiants de l’université peuvent émarger à la part sociale.
Les élus étudiants du CROUS pour le FSU et des élus étudiants de l’université pour Commission FSDIE siègent. Ils participent à la prise de décision dans l’attribution de ces aides, mais également dans la détermination des critères et montant d’attribution.
Le Budget FSU pour l’année 2006 s’élève à 130.475 € contre 48.500 € pour le FSDIE part sociale.
Lors de la commission plénière du 13 avril dernier, ce sont 80 nouveaux dossiers qui ont été étudiés. Ce sont les assistantes sociales du CROUS et de l’université qui présentent les dossier (les dossiers sont anonymés) à la commission.
Cette commisson est une commission clé pour les étudiants e difficulté. Depuis longtemps déjà, je dois faire face aux personnes qui me reprochent, ainsi qu’à l’AFEP, de ne pas rendre compte de notre action. Parfois même, c’est l'investissement que nous avons qui est mis en doute. Alors j’ai décidé de ne plus ménager ceux qui manquent à leurs engagements.
Lors de cette commission, seuls les élus AFEP du CROUS et de l’université étaient présents.
Ni Quentin Guillemain (Président de l’AGEP-UNEF Poitiers, élu au CROUS, au CA de l’Université, au Conseil d’UFR de Science, membre du bureau national de l’UNEF et administrateur de la LMDE), ni Sébastien Aufort (chef de file des « Etudiants à Gauche », anciennement élu sous l’étiquette UNEF) n’étaient présents. Ils n’avaient vraissemblablement pas jugé bon non plus de prévenir leurs suppléants.
Messieurs, puisse le mot « solidarité » être un peu moins dans votre bouche et un peu plus dans votre gestes ! Quand on sait l’importance de ces commissions, votre absence, moins d’un moi saprès votre élection, n’est que peu excusable !